| | | annabellah margy ƒireberry — ended. |  |
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Annabellah M. Fireberry
Messages : 32
Pseudo : Cowca - Texas Joke.
Credit : rose delight.
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| | Sujet: annabellah margy ƒireberry — ended. Mar 27 Oct - 19:29 | |
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Nom, Prénom(s) - Fireberry, Annabellah Margy
Naissance (date et lieu) - treize mars 1990 à Paris.
Age - dix-neuf ans x_x
Nationalité - anglaise, française et russe.
Groupe - étudiants (:
INTRODUCTION
« en faite, j'ai grandit dans Paris. mais bon. je ne suis pas vraiment parisienne. mon nom je le tiens de ma mère, une grande styliste. elle a accouché de moi à Paris. je crois que j'étais un simple accident de parcours parce que pour laissé lâchement son bébé à son assistante parisienne faut vraiment ne pas le vouloir. enfin. elle ne voulait pas s'encombrer. mais bon, je la comprends un peu. quand on a vingt cinq ans, qu'on a du succès et qu'on en a soif, on veut bien oublié de se protéger mais surtout pas garder le bébé. elle aurait pas pu avorter nan ? et bien non, elle s'est rendu compte sûrement trop tard qu'il fallait qu'elle remette les pieds sur Terre parce qu'elle allait accoucher d'une petite fille qui lui ressemblera et sera sûrement plus mignonne. peut-être qu'elle avait peur de ça ? quand elle m'a vu à la naissance, elle s'est peut-être " oh my fuckin' godness ! she's too pretty ! ", elle s'est rendu compte que je serais beaucoup plus belle qu'elle et donc elle m'a largué. enfin c'est pas tout. j'ai donc grandit avec Malika. une jeune arabe, n'ayant d'ailleurs pas forcément envie de se retrouver avec le bébé de son boss. Malika bossait comme assistante de ma mère pendant la Fashion week parisienne, elle bossait à la piscine à l'accueil ou la caisse. j'ai toujours été la fierté de la famille où j'ai grandit. ce n'est bien sûr pas pour me vanter, ce n'est pas du tout mon genre, mais vous vous imaginez ? une anglaise / russe fille de graaande styliste qui débarque dans la banlieue. j'avais les mimiques de ma mère sans jamais l'avoir vu, j'aimais les fringues de luxe, j'étais des plus gracieuses, j'aimais le succès et surtout j'étais blonde - je le suis toujours. Malika vantait souvent mes traits, disant qu'ils étaient fins et bien dessinés, que j'avais un visage adorable, une bouille d'ange. sauf qu'après ce qui s'est passé à mes quatorze ans, Malika je ne l'ai plus jamais revu. on m'a envoyé dans une grande maison qui ressemblait plus à un manoir. j'ai fait la connaissance d'une femme qui s'appelait Lysah Fireburry. j'appris un mois après mon arrivée que c'était elle ma mère. en même temps, je ne la voyais que très rarement. je connaissais juste son nom, son physique et sa voix. je ne l'ai jamais considéré comme ma mère. un mère c'est celle qui soutient son enfant de la naissance jusqu'à la majorité, nan ? cependant, ça m'a beaucoup changé de me retrouver à Londres. enfin, ça reste une capitale. je me suis faite embauché comme mannequin dans une agence londonienne. je travaillais pour le plaisir parce que personnellement, l'argent il ne m'en manquait pas. donc, je travaillais à l'agence puis j'étudiais. peu à peu, j'ai suivit les autres gosses de riche qui me servaient d'amis dans des délires totalement mauvais pour la santé mais tellement .. wow. en faite, ça j'ai pas arrêté. maintenant que j'ai dix-neuf ans, que je suis à l'université, je suis enfin chez moi. »
ANECDOTE
« le premier jour du reste de ta vie. c'est quand ? à ta naissance ? ou à ton premier sentiment, à ta première émotion ? je ne sais pas vraiment, comme je ne l'ai jamais su. en faite. je ne sais pas si je le saurais un jour. maman m'a lâchement abandonné quand je n'avais que deux ans. mais bon, en même temps, je n'en ai que quatorze alors comment pourrais-je répondre à des questions comme ça ? aujourd'hui, malika doit m'emmener avec elle, elle doit récupérer une clé à la piscine - là où elle bosse - pour je ne sais plus trop quoi. parait que y aura le concierge. je crois qu'elle craque littéralement pour lui. tous les soirs, elle me décrit son visage. il a les yeux verts tirant vers le marrons, un nez fin et long, et des lèvres fines qui dessinent la plus part du temps un rictus mauvais. enfin, c'est comme ça qu'elle me décrit. ensuite, elle me raconte à quel point il est gentil avec elle et les autres employés. m'enfin. elle m'a dit qu'elle m'emmènerait et que je pourrais faire mes devoirs pendant qu'elle fait ce qu'elle a à faire à la piscine. ce sera la première fois que je ferais mes devoirs là-bas quand il n'y a personne. enfin, faut que j'y aille, on m'appelle. je me dirige vers la voiture avec mon sac à dos sur .. le dos ! bref, la petite renaud cinq blanche démarre avec mal. pauvre voiture, elle va finir par nous lâcher un jour. le paysage défile lentement mais sûrement. je vois passé le bâtiment de mon collège. dans la radio, c'est du louis armstrong qui passe. je chantonnes en appuyant mon oreille contre la vitre gelée. il fait froid, nous sommes en hivers. je me demande si un jour je verrais la neige tombée sur paris. enfin on arrive. je descend et marche tranquillement derrière malika. malika c'est comme sœur pour moi. elle m'a accueillit après que ma mère soit partit. c'était ma nourrice quand j'étais bébé. elle me raconte souvent à quel point elle haïssait ma mère. que c'était une femme infecte. que sans une nourrice je serais sûrement morte. cependant, pour la toute première fois de ma vie, je rencontre le concierge de la piscine. grand, exactement comme elle me l'a décrit. il me regarde avec le fameux rictus malfaiteurs. malika rougit en le saluant, je suis sûre qu'elle est folle de lui. elle m'emmène et je lui colle au derrière. finalement, il me fait peur le concierge. malika s'arrête vers le comptoir, elle se met à fouiller et demande au concierge de me conduire à la salle où y a des tables. je le suis. il s'arrête, je m'arrête. il se tourne vers moi.
CONCIERGE ▬ t'as déjà couché petite ?
ANNABELLAH ▬ non.
je tremble. il commence à me faire peur le vieux. je recule, la porte où j'étais appuyée s'ouvre et je manque de me rétamé. mince, une cabine. j'suis pas douée. il rentre avec moi tandis que je me trouve coincée contre un mur froid. il s'approche pour se coller à moi, c'est tout dur en dessous, il passe une main sous mon petit pull en laine crème. j'ai peur. je frissonne au contact de ses doigts rugueux. il se balade sur mon soutien-gorge. putain, j'ai peur x_x puis .. OUF ! sauvée. le bruit des talons de malika retentit. il se recule, sort et se plante devant la cabine en riant tandis que je me laisse glisser sur le sol. je crois qu'il lui dit que je suis tombée en m'appuyant sur la porte. elle rit. je lui souris et me relève. j'hésite à lui dire .. oh. elle ne me croirais pas. on arrive dans la fameuse salle. je m'installe. je pose mes affaires et sors un cahier et ma trousse. malika s'en va je ne sais où pour continuer et je reste une fois de plus seule avec le concierge. je relève le nez, il y a un coutea juste devant moi. le concierge fait un pas en me disant qu'il veut finir, qu'il est chaud.
ANNABELLAH ▬ faites gaffe ! je sais viser !
je cris de toute mes forces. mais ça ne sert à rien. il sort deux couteaux de ses poches et se rapprochent en marmonnant des insultes. je fait le tour de la table en courant afin d'atteindre la porte. il balance un couteau, je me baisse mais par manque de pot. je me retrouve avec un couteau planté dans l'épaule. le sang coule mais je m'en fiche. j'ouvre la porte et court. je cris le nom de ma " sœur ". elle ne m'entend pas. rien. il me suit en marchant. j'ai peur. j'arrive à grimper sur les casiers sans qu'il ne l'aperçoive. en m'appelant doucement, il ouvre toutes les cabines pour vérifier. je retiens mon souffle lorsqu'il passe dans l'allée où son entreposés les casiers sur lesquels je suis. pourtant quelque chose me pousse à retirer le couteau de mon épaule et descendre. il ne m'entend pas. j'arrive derrière lui et PLOUICH. je lui plante là où notre professeur de biologie a dit que c'était le plus utile si on est derrière. je retire le couteau et le replante. à nouveau je le retire mais il s'écroule. à terre, il me fixe de ses yeux meurtriers. je recule, trébuche. je le regarde un temps. assez pour que son sang m'atteigne. j'ai peur. je recule, toujours sur les fesses jusqu'à un coin o`il y a un téléphone. j'appuie sur le un, puis le sept.
DAME ▬ police nationale. que pouvons-nous faire pour vous ?
ANNABELLAH ▬ j'ai .. j'ai .. oh mon .. j'ai tué ..
je raccroche. je peux pas, j'ai peur. par la suite, tout se passe vite. je m'aperçois que le concierge est devenu blanc et qu'aucun bruit ne sort de sa bouche ouverte. le sang coule. aussi bien de mon épaule que de son corps. j'entends un bruit. la police. j'entends des pas. malika et la police. j'entends des cris. malika. on me relève. moi non plus, je ne bouge plus. je suis pétrifiée. lorsqu'ils me relèvent le couteau tombe dans un bruit insupportable. j'arrive plus à respirer, tout s'éteint alors que les larmes commencent à perler. noir .. »
- je déteste parler de moi, qu'on me questionne ou des trucs dans le genre. je ne suis pas du genre à vouloir tout savoir sur les autres. j'aime écouter, je n'aime pas parler. ça a toujours été comme ça et on ne me changera jamais. après si les gens me racontent leur vie, qu'ils ne comptent pas sur moi pour leur raconter la mienne. j'accorde très peu et très difficilement ma confiance. la plus part des gens ne connaissent que mon nom. c'est ça que j'aime dans ma vie, c'est que personne ne sache qui je suis exactement.
- bien sûre, j'ai moi aussi mes vices. enfin, en même temps, les vices de la plus grande part des jeunes de mon âge. je suis une drogué. enfin, je l'ai toujours été. depuis toute petite. autant avant, la vie c'était ma drogue. maintenant, c'est un peu tout, mais surtout l'héroïne et la coke. j'aime ça. j'aime la sensation de liberté que la drogue me procure. je m'envole. je plane, c'est comme quand tu sautes d'une falaise pour plonger dans l'océan. c'est plus fort que l'adrénaline. c'est mieux que tout. mais bon. en même temps. la drogue .. ça sert à ça non ?
- un conseil : ne m'invitez pas à manger. je déteste la nourriture. ça me répugne tellement. enfin, vous pouvez toujours, mais le repas risque de finir dans mes toilettes. bon, je pense que vous avez compris le message hein 
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Dernière édition par Annabellah M. Fireberry le Mar 27 Oct - 20:26, édité 4 fois | |
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| | Sujet: Re: annabellah margy ƒireberry — ended. Mar 27 Oct - 19:43 | |
| bienvenue, anne-marie  | |
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| | Sujet: Re: annabellah margy ƒireberry — ended. Mar 27 Oct - 19:56 | |
| BIENVENUE  Bon choix | |
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| | | | | Annabellah M. Fireberry
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| | Sujet: Re: annabellah margy ƒireberry — ended. Mar 27 Oct - 20:06 | |
| Bienvenue (: Bonne chance pour la suite de ta fiche.  | |
| | | | Annabellah M. Fireberry
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| | Sujet: Re: annabellah margy ƒireberry — ended. Mar 27 Oct - 20:29 | |
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| | | | Annabellah M. Fireberry
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| | Sujet: Re: annabellah margy ƒireberry — ended. Mar 27 Oct - 20:34 | |
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