Tallulah Jefferson
LULAH ♦ don't stop, make it pop, DJ blow my speakers up
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| Sujet: HE SAID I DON'T KISS ON THE FIRST DATE ♦ free. Sam 24 Oct - 23:21 | |
| RÉSERVÉ Misery Angel & Coldy January ♦ Nom et prénom(s) au choix
Âge: dix-neuf ans Occupation: aux études. travail au choix Nature du lien: Ayant repoussé Tallulah au lycée alors qu'elle l'avait embrassé lorsqu'ils avaient seize ans, X s'en veut à mort depuis ce temps, ne l'ayant pas oublié pour autant. Personne ne parlait de cet évènement pour la simple et bonne raison qu'il n'en avait parlé à personne, par respect pour elle. Il pouvait être salaud, mais pas avec ceux qu'il aimait. Maintenant qu'ils vont à la même université, il va lui avouer tout ce qu'il a toujours voulu lui dire. Avatar: Zac Efron ou Joe Jonas, très peu négociable mais essayez FICHE:
« Graham et Jefferson, en équipe! »
Tout de suite, mon visage devint rouge écarlate. Quelle chance et en même temps, quel désastre. J'étais nouvelle dans cette école et déjà, on me placait en équipe avec le plus beau mâle que vous n'avez jamais vu. Mais en même temps, j'étais très timide et ça se voyait. Beaucoup auraient aimé être à ma place, j'en suis bien consciente mais à ce moment là, j'aurais passé mon tour volontiers! Ce fameux travail d'équipe consistait à créer une scène amoureuse pour le cours d'art dramatique. Nous étions au lycée, seize ans, pour être plus précis. Le fait de devoir jouer une scène amoureuse avec le jock du lycée me stressait au plus au point. Il restait dix minutes au cours et nous devions parler de ce que nous devions faire en attendant que la fin des cours arrive.
« Écoute, la nouvelle, Tiffany c'est ça..?» « Tallulah. » « Ouais, Tallulah. Bah j'suis en panne d'idées... » « Heum, personnellement j'en aurais quelques unes, mais tu ne va certainement pas comprendre ou alors, tu ne vas pas vraiment les aimer... » « Bah, vas-y on sait jamais! » « Très bien... alors on pourrait faire un Shakespeare moderne tu vois? Un genre de Roméo et Juliette contemporain avec tous les éléments qui viennent avec... » « Heum oui, probablement. Bref, demain soir tu fais quelque chose? On pourrait aller chez toi pour réviser ce qu'on avait à faire... » « Chez moi? Heum, oui d'accord pas de problème... »
J'avais hâte au lendemain... Oh oui ce que j'avais hâte, c'était inexplicable! J'étais énormément nerveuse, j'avais nettoyé la maison de fond en comble pendant toute la soirée, mes parents ne comprenaient pas pourquoi d'ailleurs. Cette attitude étrange qui me prenait, ce n'était pas dans mes habitudes. J'étais de nature très bordélique, alors me voir nettoyer leur paraissait très étrange. Nous venions d'arriver de Boston, j'étais la nouvelle dans cette petite ville où tout le monde se connaissait. Nous avions emménagé dans une maison bien cliché: grande et blanche, gazon toujours vert, jardin... dans un quartier assez aisé vous voyez le genre? Oui... tant mieux.
Bref, ce fameux lendemain arriva. Heureusement pour nous, mes parents étaient absents pour la soirée, ce qui facillitait la tâche. J'avoue avoir été grandement intimidée lorsque j'aperçu son regard de l'autre côté du seuil. Après un petit moment d'hésitation, je m'exclamai:
« Entre! »
Nous montâmes à l'étage, où ma chambre était située. Non sans arrières-pensées bien sûr, mais c'était le seul où nous pouvions répéter à tête reposée. Après quelques minutes de discution sur notre travail, nous commençions à enfin mettre le tout en jeu.
Il était si convainquant, si beau, si vrai... j'ai été vraiment idiote de croire qu'il transmettait son texte comme un message pour me dévoiler son amour... puis.. plus rien. Je l'embrassai. Cependant, ce n'était pas vraiment comme je le croyais. Il me repoussa, s'essuyant la bouche en ricanant
« Un peu trop rapide la nouvelle, non? » « Je.. je heum... » « Je dois y aller. À demain! »
Comment ais-je pu être aussi stupide? J'étais morte de honte, je voulais mourrir, m'enfouir six mètres sous terre. Il partit, je ne prit même pas la peine de le reconduir à la porte, j'attendis le bruit de la porte qui ferme puis je descendit verouiller la porte pour ensuite m'asseoir dos à elle, enfouissant mon visage dans mes mains.
Et le plus étonnant dans tout ça, c'est que personne n'en parlait le lendemain matin...
Dernière édition par Tallulah Jefferson le Mer 4 Nov - 5:05, édité 1 fois | |
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Noam E. Graham
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